On peut avoir un an,
et être sa petite malade,
*levivre ses joies, ses maux,
le courant de *levivre.
On peut avoir un an,
et être sa petite malade,
*levivre ses joies, ses maux,
le courant de *levivre.
Les petites tapouilles viennent d'envoyer une douloureuse décision qui finalement soulage par sa sagesse tendre,
*je confie le potager à d'autres mains, pour ce Printemps,
ce sera plus léger d'envisager des cours de danse, plus de piscine.
C'est bon de s'envoler encore après un point final, comme avec mon tendre doux potager.
La molette du temps qui se tourne sa douce, de l'Ouest au Nord, demain,
ces deux régions de cœur,
parfois c'est bien lourd de quitter sa quiétude d'ici à l'Ouest,
pour demain, ce sera avec joies immenses, l'évasion, une extraction, des visages aimés à embrasser,
la distance pesait beaucoup en début de semaine, dans ses ailleaille de corps,
comme si *levieillir venait interroger, bousculer, remuer tant et tant...
*levivre son équilibre, demande tellement de se réajuster adapter sans cesse...
Les branches remuent vite, quel vent dehors ce jour,
la valise est sa faite, demain est un grand jour,
on remonte dans le Nord, et j'en suis fort contente,
cette fois plus de joies, des aimés à retrouver,
et ce retour Evry, ma petite chérie 1 an ce 12 d'un mois de Mars,
sa naissance l'an dernier m'avait pulvérisée,
dans des mondes inconnus, avec ma petite luciole,
c'est bon de se revoir, de s'aimer tellement,
à se bouger ses forces dans la tendresse du ciel,
qui donne aux yeux l'éclat pour se ressentir vivant.
Merci merci la vie de connaître tout cela.
Du paisible se prend à bouffées de jolis,
après tellement de précipitations, la semaine dernière,
le corps fait comme il peut, *et quand il ne peut plus, il se fige,
d'un stop puissant,
-
c'est sans doute moins lourd de pouvoir s'arrêter avant,
mais quand je ne sais pas, que ma vie je m'y donne en pleine tellement,
et quand il me faut agir, réagir, dans des lutte si belles,
que la beauté d'aimer, de penser sauver des êtres,
c'est pour moi impossible de m'arrêter,
avant des touches finales...
-
et puis le dos se chouchoute, seul reste l'antiinflammatoire pour quatre jours encore,
une chance big énorme d'avoir éjecté le tramadol et son effet planage zombi son substitu d'opium,
pourtant ce fut une chance aussi d'en prendre ily a deux jours,
la douleur hypervive son millimètre pas possible à bouger,
le kiné dans une heure,
-
le goût de *levivre revient encore plus intense
la maladie donne tellement des salives indigestes
-
c'est si bon d'être en vie pour *levivre...
-
merci merci la vie,
pour ces quinze jours derrière,
yahou, quel travail fait à transmettre des vérités de tout de vrai vécu; en autisme.
-
il me le fallait faire!
et puis voir des limites fut essentiel aussi!
-
et puis la fatigue était largement dépassée, bien plus de l'épuisement,
quand se donner d'aimer, je m'aime tellement ainsi faite mine de rien,
et à savourer les visages des autres, qui écoutent, entendent,
c'est que mine de rien, cela ne se voit pas sur ma mine, parfois,
ce chemin tout derrière, celui du jour du jour, et celui vers devant...
Le soleil à l'ouverture, le dos plus léger, pour un départ demain,
la relativité, l'art de vivre en beautés, les bontés,
un dos connaît tout cela,
les maladresses, le médiocre, peuvent peser tellement,
dans le mauvais sens,
et quand la barque reprend son cours léger,
après des actions en agir obligé,
*c'est bon, c'est bien, c'est plus léger.
Cet avant dernier soir ici, à l'Ouest,
avant ces jours dans le Nord, à Evry, à venir,
il y a déjà deux jours, depuis cette colonne bloquée,
en souffrances,
c'est une chance d'avoir les soins, en France,
c'est une chance d'avoir analysé le cumul encaissé,
des quinze jours, avant...
bien trop des bien trop, avec trop peu de souffles,
c'est fort impressionnant quand le corps donne sa limite,
pour porter, supporter,
il guide vers le réagir, l'agir,
et c'est bon de l'écouter...
-
L'écureuil s'est laissé regarder longtime, dans le petit bois,
un autre, leur agilité, vers le bas, vers le haut,
du repos essentiel, pour avancer encore...
voilà,
encore un grand week à *levivre en autisme
voilà
encore des déceptions au retour au foyer
voilà
la lutte continue encore
voilà
puisque la charte signée pour l'accueil des autistes
voilà
comme il faut remuer les professionnels en foyer encore
voilà
un départ vers Lille retour par Evry dès jeudi cela s'impose
voilà
*levivre relié en amour de plein de réel à *levivre
Mes libertés qui me reviennent encore,
c'est tellement bon de communiquer de l' affection,
de la sensibilité, le goût de vivre...
dans un je vous aime murmure, ses éclats de sel pur...
Aimer à la folie d'aimer...
Ma vie en démesures
Ma vie en folies
Ma vie en Amours
C'est tellement de ça déjà
Ma vie en pleine d'elle
Ma vie son humble devant
Ma vie si petite mon monde
C'est tellement de ça déjà
Mon amour en dedans
Mon amour ses passions
Mon amour qui me tient
C'est tellement de ça déjà
Mon amour de ma vie
Mon amour de *levivre
Mon amour de mes amours
-
Qu'il me plait de transmettre
Que faire voir les beautés
Avec paix et amour
*levivre a un bel sens
Mes écrits, mes pulsations mon âme, mes images, merci de les laisser, ici, dans mon nid d'être.