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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 13:20

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Tendre vers de l'Humanité plus et plus encore,

l'Humanité guide un bel monde,

sans connaissances vraiment, ou si peu,

le beau grand goût d'aimer de sons leurs authentiques,

l'art de *l'aimer *levivre,

permet de traverser, dépasser, s'enfoncer,

sans cesse remonter, car la beauté elle sauve,

elle donne de telles forces, la bonté sa magique...

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 11:28

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Dans le vase,

sur le confiturier,

une tige ses deux fleurs,

ils sont encore jolis,

ces lys blancs tenaces...

Ce soir, pas d'aquagym,
c'est évident,
mais le temps d'un partage,
à nous trois,
avec la dame des vendredis,

et c'est bien. 

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 11:16

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Plus que nécessaire, la communication, elle est essentielle dans *levivre.

Je raccroche avec la chef de service du foyer d'hébergement, RASSUREE...

Hier soir, mon père rentré chez eux, une voix sa fort faible fatiguée...

Puis l'appel téléphonique de mon fils autiste de vingt sept ans le mois prochain,
j'entends à sa voix que cela va mieux, il invite samedi soir vers 20H pendant son week foyer....
et on se dit qu'il repart en, ESAT SA ESAT ce jour ci, ce matin d'aujourd'hui vendredi...
Je lui demande si il s'est bien reposé, si il a dormi longtemps le matin...
et...
effroi, on l'a réveillé à 8H30,
immense chagrin, solitude extrême, découragements...

Et il aurait suffi que j'annule mes rv prévus hier,
et ainsi je ne l'aurais pas laissé grandir plus encore...
il me dit aussi au téléphone, qu'il a pleuré la veille de son arrêt maladie à passer au foyer...
torture de tête, impuissances...

Je racroche avec la chef de service de son foyer d'hébergement...pour savoir ce qui est prévu pour les malades.
On peut discuter pleinement sans rien laisser sans réponses, c'est parfait de dialogue.
- les résidents malades peuvent se lever à LEUR heure, par respect d'eux.
- il est préférable qu'en arrêt de travail, le repos maladie se passe au foyer, je la rejoins, même si ce fut dur de dur pour moi, ce que je lui exprime, mais mes actes pour *legrandir de mon fils encore.
- nouvelle depuis deux mois et demi, elle va se renseigner si il peut y avoir prises de températures au foyer, par quels moyens?
- j'évoque aussi les rv cc son transit

Je raccroche en la remerciant pour son attention, ses mots que je partage, JE SUIS RASSUREE.

Elle verra les divers points avec l'équipe...c'est essentiel.

ELLE ET MOI on est d'accord,

IL FAUT RESPECTER LA PERSONNE HADICAPPE DANS SON ETAT FRAGILE,

et ces personnes ont bien plus besoin de repos en malades, ou tout au moins du même repos qu'elle et moi.



A me chercher et m'assurer le plus possible en moi, que son jour d'arrêt en foyer est si essentiel...
On se construit tant dans l'amour et l'attention,
mais cela peut être mon dernier jour demain, alors? le préparer aussi à mon absence...ET CELA FAIT MAL DE *LEVIVRE... 

 

 

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:33

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...la fin des examens...on lui posera un pacemaker dans quinze jours...pour *levivre...

 

...le jeune homme sa trachéite...je le dépose hier soir au foyer...une journée sans travail ESAT SA ESAT aujourd'hui...et un fort gros travail de le laisser là...pour qu'il grandisse encore...sans moi aussi...ce fut douloureux pour moi hier soir, très...mais il le fallait...je peux aussi être hospitalisée...et c'est nécessaire qu'il se sépare encore...dans des moments moins faciles...quand la maladie, une hospitalisation...

 

...c'est douloureux d'aimer...mais cela reste bon d'aimer...car aimer c'est *levivre...sans aimer on est mort, quasi...

 

...et avoir des enfants, c'est douloureux souvent...de les aimer, vivants, vivante...les aider à grandir, c'est loin d'être fort simple...

 

...en vécu en autisme, tout est multiplié, actions, et réactions, c'est épuisant souvent parfois fort épuisant...et chaque jour se lève avec son sens puissant...*levivre pour ses enfants...

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 14:16

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Fort enroué, hier, le jeune homme autiste, un RV pris pour 16H une consultation, des virus traînent alentour...le psy ce matin, son RV trimestriel, cela va, ô que oui quel joli week encore ce week dernier léger pour un vécu en autisme...le transit encore en ligne de mire, on ne peut s'en détacher...

 

et comme bien souvent, pour *lesavoir son temps, il faut *levivre...

c'est si bon de visualiser, comme en malade, c'est fluide...

Déjà hier sur la digue de St Nazaire de savourer chaque goutte de mon thé avec une rondelle de citron, de penser que c'est une chance de connaître des délivrances nombreuses, plus de libertés...Il fut ce temps du Nord où j'étais si enfermée dans ce vécu en autisme les soirs, les nuits, les weeks, les vacances, et pourtant ce furent de belles grâces de l'accompagner encore et encore...
ce fut éreintant si souvent, presque toujours, c'est si vrai, mais quand je vois mon fils Aujourd'hui,
je m'incline encore et encore dans mes remerciements pour ceux tous ceux du Nord qui ont donné de leurs vies, qui m'ont donné force pour dépasser mes limites, souvent, si souvent...

POUR QUE SA VIE *LEVIVE AUSSI BELLEMENT AUJOURD'HUI...

et puis je ne peux m'empêcher aujourd'hui de laisser passer quelques souvenirs, de mon jeune fils autiste malade, c'était, *O c'était, ailleaille, c'était tellement dur d'impossible à mettre en en mots...c'était une tornade de chaque instant, de très tôt ses 6H à tard ses 22H 23H...et ses lever de nuits...

c'était, et aujourd'hui, c'est paisible, et souvent, sans doûte chaque jour, je pense aux familles d'autistes sans aides...


C'EST L ENFER SI SOUVENT, sans aides, AIDEZ LES, si vous avez un break de temps...

 


Youps, on y va...car avant...une bonne crêpe en gourmands...


et comme il souhaite la manger après le docteur, je le suivrai...et puis son idée me plaît... 

 

 

 

 

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 14:56

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Deux tiges vivent leurs douces dans le vase depuis quatorze jours...parfois des pétales tombent, des pistils,
la main ramasse, sourit, à ceux qui restent, si jolis...Le potage panais courgette sent bon
et a savouré le palais, le dessert refroidit, le plat encore dans le four...

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 14:53

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Chaque hospitalisation, se vit, en sa remuée intérieure, un temps nécessaire, pour cheminer encore,
ce n'est pas de la vie, ce n'est pas un deuil,
c'est peut être bien plus de *l'écrire en mots de *lesurvivre...
et encore une fois, on a beau, extrapoler parfois, vivre son instant et avoir un oeil sur l'avenir,

il faut *levivre pour savoir...

Ce chari vari d'états d'âmes,

et son petit lopin de *levivre encore...

La vie, qui mue ses lambeaux de chairs, en chemin à *levivre...

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 12:00

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C'est loin d'être évident, quand les parents vieillissent leurs forces, en même temps. Qui de l'un qui de l'autre, soutient soi ou son autre...
c'est un cheminement étrange, lourd pour l'enfant...que ce bout de vie, pour combien de temps...
Alors encore une fois, c'est bon aussi de nager sa bosse de vie, hors de l'eau, de se lâcher prise encore, de s'émerveiller chaque jour, car pour soi aussi, le temps est compté, combien de temps...
Il fait soleil, le bourg gentil ses sourires, cela fait du bien, je ne regrette en rien l'écrin de luxe du Nord d'avant, avec tellement bien plus de pommades d'uniformes de faux semblants, ici cela respire de la transparence...
chacun chacune a ce droit le plus intime, de parfois être son dynamisme, parfois son lourd chagrin, parfois cet état d'apesanteur, parfois ses partages qui font du bien, avec rien, presque rien, juste quelques mots sincères, un éclat d'oeil, c'est magique d'Humanité...

dans trois semaines, cela fera six ans, que la vie en ici, à l'Ouest, sur cette presqu'île guérandaise, près de Nantes que j'aime, de cette côte splendide, de St Nazaire ce soir, sa gym des mardis, d'aquagym les vendredis, mon thé, une leffe cela dépend l'envie du jour,

sans jamais savoir à l'avance, quel breuvage la vie propose, puis on dispose, et quand on peut choisir, c'est une merveille,

le choix c'est si précieux, c'est si rare, la vie parfois décide, parfois s'impose tellement, et quitter ses carcans, vers les libérations, comme cela fait du bien, toutes ses libertés à soi, comme c'est vital, comme c'est essentiel,

ses bels précieux de vie, d'un je t'aime, ion libre...

 

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13 janvier 2014 1 13 /01 /janvier /2014 14:27

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 Un joli week de belles tables goûteuses, à les manger de leurs petites bougies, des assiettes délicates,
de bons plats leurs tendres palais, un bord de mer son thé pendant le ciné ses *Belle et Sébastien,
Nantes un autre jour, les yeux vers le haut des beaux édifices, la Place Graslin toute neuve à l'oeil, sa fontaine,
il repart en début de soirée vers son foyer d'hébergement, sa vie, ma vie, la vie...
il faut *levivre pour savoir, ses émotions en tout Là, ses si belles et ses plus douloureuses,
il y a des douleurs fort belles aussi, en tout Là, sur ce chemin là, de soi...

Et puis c'est pas facile, cette distance d'avec le Nord, quand l'hôpital encore, que leurs voix en détresse chacun, chacune,
c'est une fois encore toucher à son impuissance et remercier les possibles, ses *l'agir d'être,

agir, acter, l'action c'est tellement plus léger que la réaction...

Small home a quitté ses airs des fêtes, les deux guirlandes à demeure à l'année, scintillent encore, les lueurs sur la table,
et...

le second pot d'amaryllis qui s'ouvre sa petite feuille, comme c'est délice,
que mon oeil n'en revient pas, qu'il s'est approché ce midi, rien hier soir...

C'est si beau *levivre qui se donne à *levivre, encore, après un tel grand passage de vides ce matin,
mais tant que *levivre en poésie nous rattrape, c'est bien...
 

 

comme c'est précieux *levivre sa douce poésie.... 

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 23:04

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La délicatesse, si jolie attention, dans le regard aimant qui accroche ses petites perles de se donner vivant. L'intuition de coeur aide à ne pas perdre ce micron instant, qui peut bouleverser toute une vie. Un flash d'amour, c'est puissant, cela fige le moment avant de *levivre vivant. La vie, cette éternelle pensée à ne pas la louper, dans ses belles émotions, celles qui frisouillent l'âme, et baument la peau ses pores.

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