Quels partages forts en beautés sur le Cameroun, la vie cette délicieuse d'offrir cette richesse d'ouvertures.
Quels partages forts en beautés sur le Cameroun, la vie cette délicieuse d'offrir cette richesse d'ouvertures.
La vie c'est cette découverte de chaque instant à ne pas louper aimer rêver se vivre.
Quelque part, c'est peut être un chance, quand on a connu ô temps, de trouver ensuite,
les grands bouleversements de vie, comme assez simples, finalement,
la tête libérée plus encore d'une vie hors autisme, depuis quatre jours, mesure,
avec la distance, dans les quatre jours,
avec la distance, dans les vingt trois ans,
comme une vie en autisme, reste un immense travail de vie d'un labeur jamais fini,
et,
ensuite, la vie,
paraît d'un simple,
bien souvent,
tellement.
Et pourtant, tout n'est pas simple, il faut accommoder, réagir, chercher sa voie encore,
POUR LE MEILLEUR DE *levivre son temps sur terre.
Et c'est bon de rester conscient, de voir clair au plus près,
l'autisme à vivre, est loin d'être une chance pour la vie alentour à *levivre son instant pur de vie calme, zen, tendre,
il faut galérer, en patience, tant et tant,
ce fut fait!
comme il est bon, le temps présent, sans nostalgie de ses parts douloureuses au passé derrière.
Le temps avance, et c'est bien!
Reste *levivre de pure essence, bien plus encore!
Et à le partager, pour donner de la vie, de l'envie, du désir, de l'amour,
quand on aime aimer,
A VIE!
Et ben dis donc
Ma vie
Quelle aventure
De vie
Tu me comptes
Mon instant
Chéri
Je t'aime
En murmures
Là
Tout de Là
Contre moi
Au plus près
De ma vie
En vie
Ouvrir sa porte de sa Toto, puis de sa tite home, c'est pour demain, cet inconnu,
la vie reste ce mystère de chaque instant, et faire connaissance des futurs beaux parents camerounais de l'aînée,
c'est finalement, au regard d'Aujourd'hui, facile, dans sa vue Humaine, qui permet d'accueillir, son chaque jour,
en amour.
Ma vie, mon parcours,
en amour, je t'aime!
Et plus encore Aujourd'hui, * je chante un baiser, un baiser osé, la mer du Nord en hiver, les flonflons à la française, rien n'avait été organisé, et ses yeux se sont fermés, jugé ma fortune, oh le grand air, tournez le ciel et tournez la terre, tata ta tata, ta langue amie, liberté liberté chérie, ce moment délicieux hasard, si la vie est un film de rien, ce passage était vraiment bien, ce passage là était bien, je chante un baiser, je chante un baiser osé, sur mes livres déposés...de A. Souchon, j'aime!
Le vent est fort, ce jour. Il murmure tout haut des mots qui ne se disent pas, et les petits yeux s'éclairent, s'envolent sur les feuilles, se glissent les branches douces, se nichent un nid douillet,
le regard se réveille, il se frissonne d'aises, jouer dedans ce bois les délices d'aimer, c'est un moment si fort, que les ailes sont douces, la voix à peine audible,
le silence est le roi.
Le chêne se balança le hamac, doucement, en préparant un bel accueil pour faire connaissance avant le mariage, en se remuant dans des petits préparatifs essentiels,
le temps avance,
tendrement,
son travail de tête, paisible.
Vingt trois ans de vécu en autisme, cela prend une vie, et cela donne tant de vie aussi,
et il reste chaque jour, l'un après l'autre, à *levivre, son jour.
Son départ bouscula le coeur de mère, puis la fatigue tombe, puis la pause fait du bien,
le libre choix de liberté de faire ou ne pas faire, de s'activer ou se laisser aller à rêver,
alors un samedi dans le golfe du Morbihan,
des ports, des eaux, des voiliers,
des mouettes, de la vie, de la respire,
dimanche dans le hamac, devant les chênes,
l'oeil s'ouvre se ferme, apprécie,
comme c'est bon de se reposer.
Je suis fatiguée à cette heure,
quatre jours et demi, en vécu d'autisme, à mon âge de mon jour d'anniversaire, cela me fait sourire de l'écrire,
et un jour et demi d'aide en extérieur,
c'est le chemin pour rester vivant,
car même si il y a la lumière exceptionnelle de ce mardi à entendre, si bien de lui,
il y a aussi une fin d'après midi mouvementée d'hier, en idée fixe, le gars, en magasin,
et puis ce barbecue, ce soir, chez la garde, il dormira là, on fêtera son départ, YOUPI de libertés pour lui, pour moi,
ce matin un réveil à 6H30, c'est tôt de tôt pour un temps de vacances, mais comme il dit:
* comme cela j'en profite!
Mes écrits, mes pulsations mon âme, mes images, merci de les laisser, ici, dans mon nid d'être.